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Ce parcours est proposé en collaboration avec
Seigneur, je suis dans la nuit.
La peur m’étreint.
N’y a-t-il plus de bonheur pour moi,
plus de porte ouverte sur la vie ?
Sur la table devant moi une bougie est allumée.
Sa flamme vacille dans le noir,
mais je sens un peu de sa chaleur toucher mon visage :
elle sèche mes larmes, tout doucement.
Mon regard est captivé par sa lueur,
et par cette lumière, je vois ta lumière.
Peu à peu je prends conscience que tu éclaires mon cœur,
juste assez pour que renaisse l’espérance.
Communauté des Diaconesses de Strasbourg
La plupart du temps, on pleure parce qu’on est triste, ou parfois parce qu’on est en colèreou très fatigué. Il arrive de pleurer de joie, mais c’est bien plus rare… C’est surprenant que Jésus associe ainsi les pleurs au bonheur, et pourtant il affirme « joie pour celles et ceux qui pleurent ». Peut-être parce qu’il sait que personne n’est seul avec sa tristesse. Dieu nous rejoint dans tout ce que nous avons à traverser pour le traverser avec nous, et quand on sait qu’on n’est pas seul c’est déjà un peu plus facile.
Pour échanger en famille sur la béatitude de ce jour, découvrez une proposition ici. Vous pouvez l’imprimer pour profiter d’un moment sans écran avec les enfants.