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Ce parcours est proposé en collaboration avec
Ô Seigneur, avec Ton aide, je veux m’exercer à la douceur
dans les rencontres et les contrariétés quotidiennes.
Dès que je m’apercevrai que la colère s’allume en moi,
je recueillerai mes forces, non avec violence, mais doucement,
et je chercherai à rétablir mon cœur dans la Paix.
Sachant que je ne peux rien seul,
je prendrai soin de T’appeler au secours,
comme le firent les Apôtres ballottés par la mer en furie.
Enseigne-moi à être doux avec tous,
même avec ceux qui m’offensent ou me sont opposés,
et jusqu’avec moi-même,
ne m’accablant pas à cause de mes défauts.
Quand je tomberai, malgré mes efforts,
je me reprendrai doucement et dirai : « Allons, mon pauvre cœur,
relevons-nous et quittons cette fosse pour toujours.
Recourons à la Miséricorde de Dieu, Elle nous viendra en aide ».
On croit parfois que le bonheur, c’est de posséder beaucoup de choses, de pouvoir s’offrir tout ce dont on a envie, de ne pas avoir de limites dans ce qu’on pourrait entreprendre. Est-ce vraiment ça qui donne de la joie ? En réalité, nous aurons toujours envie de plus ou d’autre chose, et nous risquons ainsi de courir longtemps après le bonheur. Jésus affirme : « Joie pour celles et ceux qui ont un cœur de pauvre » C’est une drôle d’expression, un cœur de pauvre. C’est peut-être un cœur prêt à recevoir, un cœur qui s’émerveille devant les petites choses, un cœur qui se réjouit de ce qui lui est donné, un cœur qui sait que la vraie richesse est ailleurs ?
Pour échanger en famille sur la béatitude de ce jour, découvrez une proposition ici. Vous pouvez l’imprimer pour profiter d’un moment sans écran avec les enfants.