(…) « Malheur (ouaille ! ou plutôt Aïe, Aïe, aïe ) à moi si je n’annonce pas l’Évangile ! » Des malheurs, Paul en a connu bien d’autres en annonçant précisément l’Évangile ! Pourtant, ces malheurs-là, venus des persécutions des hommes, ne sont rien en comparaison de ce qui arriverait s’il ne remplissait pas sa mission.
Mes chers amis, mes chers frères en Christ, entendez-le bien : nous aussi avons une forte obligation d’annoncer l’Évangile. Nous ne pouvons nous y dérober, sinon malheur à nous ! Encore faut-il savoir comment l’annoncer ! Car si nous ne sommes plus au temps de l’apôtre, pouvons-nous encore utiliser les mêmes méthodes que lui ?(…)