(…) Vous je ne sais pas, mais moi je ne sais jamais vraiment quel sentiment avoir lors du repas de Pâques, le jeudi saint.

Le vendredi, c’est évident, c’est la tristesse de la croix.

Le dimanche, c’est clair, c’est la joie de la résurrection.

Mais le jeudi, est-ce le repas qui précède la tristesse de la croix ou la joie de la résurrection ? Sommes nous dans le bonheur de l’un ou dans l’effroi de l’autre ? (..)

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