(…) Nabuchodonosor, roi de Babylone, écrivez-moi cela en quatre lettres ? La vieille blague de cours de récré de notre enfance nous emmène dans ce roman compliqué et simple à la fois, compliqué comme Nabuchodonosor et simple comme cela.
Compliqué parce qu’il est écrit en araméen, que c’est aussi un livre apocalyptique qui a ce côté ésotérique des textes étranges et oniriques ; Et simple parce qu’il nous dit quelque chose de la confiance, de la jeunesse, de l’espérance de la résurrection. (…)