(…) La vie éternelle, c’est ce chemin de crête, cet équilibre à trouver entre la résignation qui nous ferait tomber dans l’abîme du néant et de la passivité, cet abîme où tombent le prêtre et le lévite de l’histoire, et la tentation du toujours plus qui nous ferait tôt ou tard basculer dans la tristesse et l’aigreur de ne pas y arriver, cette angoisse existentielle qu’exprime le spécialiste de la loi avec sa question (…)

 

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