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Quand j’ai relu ce texte, que j’avais déjà rencontré bien des fois, je me suis arrêté sur l’affirmation : « il n’y avait pas de nécessiteux parmi eux. » Elle fait l’objet de nombreux débats sur la vie de l’Église de Jérusalem au tout début du christianisme. Et cela se fait toujours sur le même mode : Les premiers chrétiens étaient-ils des communistes absolus ? Vivaient-ils dans une sorte de kibboutz ?
Mais cette fois, j’ai ressenti le besoin de transposer cette affirmation dans notre vie d’Église aujourd’hui. Et j’aimerais vous faire partager mon cheminement en commençant par réfléchir sur ce que l’on entend par nécessiteux. Ensuite, nous pourrons nous demander comment nous pouvons connaître les besoins de nos frères et sœurs, s’ils ne nous les montrent pas. Et, pour finir, nous ferons une petite balade vers l’une des demandes du Notre Père, en lien avec notre texte. (…)